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bienvenue sur mon blog le canard de l’etang et ses séries télé le canard de l’etang use depuis deux ans de sa plume pour décortiquer une certaine actualité politique. il publie des petites chroniques de satire. des billets d’humeur, voire d’ironie. mais, au fait, c’est quoi, la politique? des histoires, des scénarios, des épisodes, des feuilletons, des saisons, des personnages, une comédie, des drames… on dirait une série télé… et, justement, le canard en regarde beaucoup. tous les jours. ou presque. il a donc voulu en parler, tout simplement… p.l 2 décembre, 2010 à 16:16 | commentaires (0) | permalien séries télé en blogs lu sur la-croix.com (version courte pour le journal) les séries télévisées inspirent les téléspectateurs. les passionnés de cet art populaire ressentent le besoin de se faire prescripteurs. sur son blog desnewsenseries.fr , jean-maxime renault veut ainsi « guider » ses lecteurs. il regarde les « pilotes » (1) des nouveautés lancées sur les chaînes américaines pour « faire le tri entre l’utile, l’indispensable et l’intéressant ». journaliste à la rubrique « séries » du site allociné.fr , il poste des bilans de saison, surtout de comédies, qui se prêtent moins facilement à des critiques hebdomadaires. même vision rétrospective chez julien lamy, auteur du blog blabla-series.com , qui attribue des notes à chaque saison. « c’est subjectif, mais j’essaie de ne pas être trop sévère ni trop élogieux. je veux juste aiguiller le lecteur », explique le blogueur très remonté contre « les critiques figées » de la presse spécialisée. « les séries parlent de tout » « nous sommes à la fois dans le magazine et l’analyse », ajoute joey bassett, qui anime avec amandine prié le blog « des séries et des hommes » . ils ne couvrent pas l’actualité récente de ce genre de fiction, mais s’interrogent sur des thèmes bien précis : la manière dont la mafia est traitée à la télévision, les bandes dessinées comme source d’inspiration ou encore « la psychopathologie des héros de séries ». « les séries parlent de tout. nous souhaitons élargir le champ de vision des téléspectateurs à l’immensité du paysage couvert par ces fictions, leur richesse et leurs faiblesses. » les blogueurs n’hésitent pas à remonter le temps, en évoquant des séries du monde entier des années 1950 à aujourd’hui. pour joey bassett, certains bons vieux feuilletons méritent autant d’attention que les plus récentes des fictions télévisées. ainsi publie-t-il, sur son blog personnel, 720lignes.com , des fiches de séries méconnues. son but ? « assembler une base de données francophone sur l’histoire des séries. » mais aussi partager sa passion et attendre le prochain épisode… (1) premier épisode d’une série. philippe lesaffre 9 octobre, 2011 à 11:18 | commentaires (0) | permalien » les chaînes françaises spéculent sur l’absence du sens critique du public » canal + diffuse, le 22 septembre, le début de la saison 1 de « the event », un feuilleton mettant une conspiration qui implique le président des etats-unis et un groupe de détenus étranges. mais la série, sans audience convenable sur nbc, n’a pas été renouvelée outre-atlantique. et ce n’est guère la première fois que des fictions, qui n’ont pas marché aux etats-unis, sont quand même diffusées en france. pourquoi ? comment se déroule l’acquisition des séries importés en france ? article lu sur toute la culture.com tf1 diffuse depuis le 17 septembre l’unique saison de la série américaine « los angeles, police judiciaire ». créée en 2010, la fiction policière a été… annulée en mai 2011 au bout d’une saison aux etats-unis (sur nbc). canal + a importé la série « the event », un feuilleton – doux mélange de « 24 heures chrono », « fringe » et « lost » – non-renouvelé par son diffuseur, la chaîne nbc. la chaîne câblée orange ciné happy devrait diffuser au mois d’octobre prochain la sitcom de l’ex-friends matthew perry… qui n’a pas tenu plus de neuf épisodes en début d’année, outre-atlantique (sur abc). les feuilletons annulées aux etats-unis au bout de quelques épisodes ne font pas partie de la majorité des séries importées en france. mais tout de même… pourquoi les grandes chaînes françaises achètent-elles des séries qui ne marchent guère aux etats-unis ? tout simplement parce qu’elles ne savent pas encore si la série en question va fonctionner ou pas : « l’acquisition des séries américaines par les chaînes françaises a lieu avant même la diffusion américaine de la série », explique laurence doury, docteur en science de l’information et auteure de « décoder les séries télévisées « . « les directeurs d’acquisition des chaînes visionnent les épisodes lors d’un marché annuel qui se déroule en mai de chaque année à los angeles », précise-t-elle. « il leur faut acheter la bonne série qui va leur assurer de fortes audiences. les chaînes de télévision françaises prennent donc des risques lors de chaque achat de série américaine », explique cette universitaire. « aucun producteur n’a jamais fait faillite pour avoir sous-estimé le public » tf1, par exemple, achète, en 2010, une série d’espionnage, « undercovers ». or, le feuilleton ne fait pas long feu, à la rentrée 2010/2011, outre-atlantique. et son créateur j.j. abrams reconnait, après coup, son échec… pourtant, la une diffuse cette fiction. « il faut bien remplir sa grille des programmes », sourit un scénariste français qui préfère garder son anonymat. « certaines séries télévisées qui n’ont pas marché aux états-unis peuvent intéresser le public français », précise laurence doury. le scénariste, à l’origine d’une série sur canal +, se montre moins tendre : « les chaînes françaises spéculent sur l’absence de sens critique du public. on connaît l’adage hollywoodien selon lequel aucun producteur n’a jamais fait faillite pour avoir sous-estimé le public », glisse-t-il. et la majorité des téléspectateurs n’auraient « aucune idée de ce qui marche ou pas outre-atlantique. ils restent convaincus que les séries américaines sont géniales par nature, comme le serait le cinéma américain, estime le scénariste. or, dans les deux cas, c’est faux. » pas de miracle, toutefois, pour « undercovers »… la une déprogramme, en mai 2011, cette pâle copie d’ « alias » (aussi créée par j.j. abrams), au bout de quatre épisodes. faute d’audience, comme toujours… p.l 28 septembre, 2011 à 15:40 | commentaires (0) | permalien le retour de la télé-poubelle françois jost revient sur le retour de l’émission « secret story » et en profite pour parler series tv . article publié sur le site d’info atlantico , propos recueillis par p.l a l’occasion du retour de « secret story » sur tf1, ce vendredi 8 juillet, françois jost, l’auteur de « l’empire du loft », revient sur le concept de télé-réalité qui ne cible que les jeunes. le sémiologue se montre très critique vis-à-vis de la plupart des émissions de ce type… souvent calquées sur les ficelles des séries, elle peuvent rapporter des sommes d’argent beaucoup plus importantes. atlantico : l’émission « secret story », qui revient ce 8 juillet sur tf1, ne touche-t-elle qu’un public ciblé ? françois jost : ce type de programme veut, en effet, toucher des jeunes ou la mère qui fait des courses. le premier objectif est de toucher le prescripteur des achats . de façon générale, la télé-réalité cible les 15-34 ans . pourquoi ? car la psychologie des participants est assez infantile . même s’ils ont une trentaine d’années, ils raisonnent un peu comme des enfants . on dit souvent dans la télé-réalité que telle expérience les fera grandir, leur donnera de la maturité. et ils sont de toute façon infantilisés par le dispositif lui-même. on leur donne des ordres sur leur rythme, leur temps. et ce dispositif correspond bien à ce que recherchent les jeunes, les adolescents : ils s’amusent de voir des participants dans des situations difficiles ou ridicules, qui favorisent le « foutage de gueule ». les familles sont-elles divisées par la télévision ? attention, le fait qu’il y ait une majorité de femmes de moin